Qu’est-ce que le paléoart ? Autrement dit, comment passe-t-on de fossiles à des animaux en chair et en os, qui vivent, mangent et respirent dans des environnements disparus eux aussi ? Comme nous le découvrirons en observant de nombreuses œuvres peintes, dessinées ou sculptées, cette question n’est pas que scientifique : dès le début, nos représentations de mondes préhistoriques ont été pétries d’enjeux idéologiques, politiques, esthétiques, voire même de rivalités acharnées. Nous suivrons une aventure qui nous mènera des deux côtés de l’Atlantique, plongerons dans les univers de quelques paléoartistes marquants et tisserons des liens entre ces images et les rivalités parfois cruelles entre savants du 19e siècle.
Qu’est-ce que le paléoart ? Autrement dit, comment passe-t-on de fossiles à des animaux en chair et en os, qui vivent, mangent et respirent dans des environnements disparus eux aussi ? Comme nous le découvrirons en observant de nombreuses œuvres peintes, dessinées ou sculptées, cette question n’est pas que scientifique : dès le début, nos représentations de mondes préhistoriques ont été pétries d’enjeux idéologiques, politiques, esthétiques, voire même de rivalités acharnées. Nous suivrons une aventure qui nous mènera des deux côtés de l’Atlantique, plongerons dans les univers de quelques paléoartistes marquants et tisserons des liens entre ces images et les rivalités parfois cruelles entre savants du 19e siècle.
Plateosaurus ne fait pas partie du Panthéon des dinosaures pour les humains. Pourtant, des muséums en Suisse et en Allemagne le présente abondamment. Car Plateosaurus tient une place énorme dans l’histoire des découvertes et dans l’évolution des dinosaures.
Ce dinosaure découvert avant même que le mot « Dinosaure » ne soit inventé, fut un des tous premiers dinosaures européens, une dizaine de millions d’années à peine après l’apparition du groupe en Amérique du Sud. Enfin, il appartient au groupe des Sauropodomorphes et constitue avec quelques autres dinosaures du Trias mondial, la base génétique des futurs géants du Jurassique et du crétacé.
Plateosaurus est donc, à juste titre, le premier des géants !
Plateosaurus ne fait pas partie du Panthéon des dinosaures pour les humains. Pourtant, des muséums en Suisse et en Allemagne le présente abondamment. Car Plateosaurus tient une place énorme dans l’histoire des découvertes et dans l’évolution des dinosaures.
Ce dinosaure découvert avant même que le mot « Dinosaure » ne soit inventé, fut un des tous premiers dinosaures européens, une dizaine de millions d’années à peine après l’apparition du groupe en Amérique du Sud. Enfin, il appartient au groupe des Sauropodomorphes et constitue avec quelques autres dinosaures du Trias mondial, la base génétique des futurs géants du Jurassique et du crétacé.
Plateosaurus est donc, à juste titre, le premier des géants !
Au Kazakhstan, dans les montagnes du Tian Shan, poussent des forêts de pommiers sauvages préhistoriques dont certains sont hauts de plus de 30 mètres et dont les pommes, de formes et de couleurs variées, sont savoureuses et sucrées ! Quel est donc le mystère de ces arbres jusqu’alors inconnus du monde occidental ? Seraient-ce les ancêtres de nos pommiers cultivés, et le Kazakhstan, le jardin d’Eden ? Avec une enquête scientifique et historique, ce film présente le travail d’Aymak Djangaliev, scientifique kazakh qui a dédié toute sa vie à l’étude et à la sauvegarde de ces forêts ainsi que les travaux de scientifiques américains, anglais et français qui se sont penchés sur le véritable « miracle » que représente cette biodiversité. On découvre alors le secret de l’extraordinaire résistance aux maladies des pommiers Malus sieversii qui pourraient nous offrir les pommes sans pesticide de demain. Une biodiversité qu’il est indispensable de sauvegarder pour les générations futures.
Au Kazakhstan, dans les montagnes du Tian Shan, poussent des forêts de pommiers sauvages préhistoriques dont certains sont hauts de plus de 30 mètres et dont les pommes, de formes et de couleurs variées, sont savoureuses et sucrées ! Quel est donc le mystère de ces arbres jusqu’alors inconnus du monde occidental ? Seraient-ce les ancêtres de nos pommiers cultivés, et le Kazakhstan, le jardin d’Eden ? Avec une enquête scientifique et historique, ce film présente le travail d’Aymak Djangaliev, scientifique kazakh qui a dédié toute sa vie à l’étude et à la sauvegarde de ces forêts ainsi que les travaux de scientifiques américains, anglais et français qui se sont penchés sur le véritable « miracle » que représente cette biodiversité. On découvre alors le secret de l’extraordinaire résistance aux maladies des pommiers Malus sieversii qui pourraient nous offrir les pommes sans pesticide de demain. Une biodiversité qu’il est indispensable de sauvegarder pour les générations futures.
Julien Regamey, passionné de photographie depuis son plus jeune âge, travaille depuis plusieurs années déjà sur la réalisation d’un film sur un animal qui n’a cessé de faire parler de lui ces derniers temps : le loup. Par ses images, il souhaite démystifier le canidé, rassurer la population et apporter différentes solutions de cohabitation ! Lors de cette conférence, Julien parlera avec passion de son travail, de son expérience et répondra à toutes vos interrogations.
Julien Regamey, passionné de photographie depuis son plus jeune âge, travaille depuis plusieurs années déjà sur la réalisation d’un film sur un animal qui n’a cessé de faire parler de lui ces derniers temps : le loup. Par ses images, il souhaite démystifier le canidé, rassurer la population et apporter différentes solutions de cohabitation ! Lors de cette conférence, Julien parlera avec passion de son travail, de son expérience et répondra à toutes vos interrogations.
Dans certaines villes roumaines, une fois la nuit venue, les ours sortent de la forêt pour aller se nourrir de ce que les êtres humains ont laissé dans leur poubelles. Balai d’ombres furtives et silencieuses qui hantent les ruelles jusqu’au nouveau jour. Nous commencerons par la projection d’un court documentaire réalisé par Le Grand JD en septembre 2022 et ensuite nous verrons un diaporama d’images exclusives prises en mai 2023. Malgré de belles images, c’est le reflet d’une triste réalité, l’expansion des humains qui arrachent de leurs gueules insatiables toujours plus de morceaux du territoire sauvage. Ici dans cette petite ville, ces deux mondes s’entremêlent.
Dans certaines villes roumaines, une fois la nuit venue, les ours sortent de la forêt pour aller se nourrir de ce que les êtres humains ont laissé dans leur poubelles. Balai d’ombres furtives et silencieuses qui hantent les ruelles jusqu’au nouveau jour. Nous commencerons par la projection d’un court documentaire réalisé par Le Grand JD en septembre 2022 et ensuite nous verrons un diaporama d’images exclusives prises en mai 2023. Malgré de belles images, c’est le reflet d’une triste réalité, l’expansion des humains qui arrachent de leurs gueules insatiables toujours plus de morceaux du territoire sauvage. Ici dans cette petite ville, ces deux mondes s’entremêlent.